Au revoir Monsieur Moustaki...
Nous avons appris ce midi le décès du chanteur-compositeur Georges Moustaki.
Line l'a qualifié de «grand poète» et a déclaré à l'AFP «On s'aimait beaucoup même si on n'était pas intimes. Il m'appelait sa petite Line. Mon grand regret est de n'avoir jamais interprété ses chansons. Georges était un homme tranquille. C'était un sage. Il nous laisse des chansons sublimes»...
Caro
Petite biographie de Georges Moustaki
Georges Moustaki, était né le 3 mai 1934 à Alexandrie, de parents juifs grecs immigrés en Egypte.
Il s'est installé à Paris en 1951 et y a fait une rencontre déterminante, celle de Georges Brassens qui l'a intronisé dans les nuits de Saint-Germain-des-Prés. C'est en son hommage qu'il a adopté le prénom Georges.
Il a écrit quelque 300 chansons pour les plus grands interprètes, Piaf, Montand, Barbara, Gréco, Reggiani, avant de les chanter lui même avec succès.
Ses chansons les plus célèbres restent "Milord" (1958), écrite pour Edith Piaf et traduite dans le monde entier, puis "Le Métèque" (1969), d'abord chantée par Pia Colombo et dont le refrain a fait le tour de la planète.
Plusieurs autres sont devenues des classiques, comme celles interprétées en 1966 par Reggiani , "Sarah", "Ma liberté", "Ma solitude", "Votre fille a vingt ans", mais aussi "La Dame Brune" (Barbara, 1968), ou encore "Joseph", "La Marche de Sacco et Vanzetti".
Il s'est installé à Paris en 1951 et y a fait une rencontre déterminante, celle de Georges Brassens qui l'a intronisé dans les nuits de Saint-Germain-des-Prés. C'est en son hommage qu'il a adopté le prénom Georges.
Il a écrit quelque 300 chansons pour les plus grands interprètes, Piaf, Montand, Barbara, Gréco, Reggiani, avant de les chanter lui même avec succès.
Ses chansons les plus célèbres restent "Milord" (1958), écrite pour Edith Piaf et traduite dans le monde entier, puis "Le Métèque" (1969), d'abord chantée par Pia Colombo et dont le refrain a fait le tour de la planète.
Plusieurs autres sont devenues des classiques, comme celles interprétées en 1966 par Reggiani , "Sarah", "Ma liberté", "Ma solitude", "Votre fille a vingt ans", mais aussi "La Dame Brune" (Barbara, 1968), ou encore "Joseph", "La Marche de Sacco et Vanzetti".